REPONSE LOAN/KALEB DOC

J’avais besoin de prendre l’air, de m’éloigner de la ville. C’est dans ma nature de m’éloigner a des moments pour me ressourcer, méditer, ne rien penser d’autres. D’habitude, je le fais chez moi, je m’entraîne pour me re canaliser, que ma magie et moi ne faisons qu’un. Mais depuis que je suis arrivé dans cette ville, je n’ai toujours pas de chez moi, j’habite toujours dans cette chambre d’hôtel minable que j’avais pu me trouver avec les pauvres petits sous que je possède. Je sais que maintenant tout cela va être différant, car j’ai, un emploie. Mais il faut que j’aie mon premier salaire pour pouvoir m’acheter quelques choses d’un peu plus grand. Que je n’ai plus à attendre les voisins de chambrer se menacer de se tuer, car il a était infidèle. Ou même entendre les couples venir dans une de ses chambres soit avec des partenaires temporaires ou des femmes de la nuit pour 1h de bagatelle. Comme voulez vous que je me concentre que je fasse ma méditation, comme certains diront que je remets tous mes chakras en accords les uns avec les autres. C’est dans mes origines la méditation on nous apprend cela des le plus jeune âge, pour nous apprendre a canaliser la rage qui peut nous ronger de l’intérieur, apprendre a maîtriser l’énergie de nos pouvoirs pour qu’il soit le prolongement de notre être ou simplement juste respecter le silence une chose quand ville on ne connaît pas beaucoup. C’est dans mes origines la méditation, on nous apprend cela du le plus jeune âge, pour nous apprendre a canaliser la rage qui peut nous ronger de l’intérieur, apprendre a maîtriser l’énergie de nos pouvoirs pour qu’il soit le prolongement de notre être ou simplement juste respecter le silence une chose quand ville, on ne connaît pas beaucoup.

J’avais discuté avec des clients l’autre soir qui était ici depuis toujours et certains depuis quelque temps, je leur avais demandé s’il connaissait un endroit assez isolé de la ville qui pouvait être calme ou je pouvais être tranquille. Tous mon répondu le lac à l’extérieur de la ville, un lieu ou beaucoup de personne vont quand ils veulent être tranquilles. Donc grâce a eux, j’avais trouvé le lieu parfait et j’irais le lendemain dès le matins, car le soir, je devais retourner bosser.

Le matin lever aux aurores à cause du directeur de l’hôtel ou je suis qui a dégager un client car il n’avait pas, payer sa chambre jetait plus que presser d’aller au lac pour une journée entière.Le matin lever aux aurores à cause du directeur de l’hôtel où je suis qui a dégager un client car il n’avait pas, payer sa chambre jetait plus que presser d’aller au lac pour une journée entière. Après avoir pris les bus qui m’ont amener jusqu’au lac, je fais quelques pas et regarde tout autour de moi en souriant en coin. Et la, je ferme les yeux et entends aucun cri, ni coup de klaxon de sirène de police ou autre, c’était le calme complet. Je prends une grande inspiration et là je commence a marcher un peu pour trouver un lieux un peu plus isoler pour pouvoir m’entraîner et méditer.

Après 10 min de marches, je suis enfin arrivé à un endroit parfait tout était calme et cela me faisait un bien fou, je savais que si j’avais besoin de me défouler, je pourrais aller faire quelques longueurs dans le lac, mais pour le moment ce n’est pas ça que j’ai besoin. Alors que l’air était frais j’enlève mon tee-shirt pour me retrouver torse nu et la commence a m’assoire en tailleur sur un pierre qui surplomb le lac et ferme les yeux pour me concentrer et mediter tranquillement. Tout se dérouler parfaitement, je me sentais apaiser, tranquille, toute l’essence de ma magie qui courrait dans mes veines quand tout à coup, je ressentis une présence. En travaillant au midnight et côtoyant des maléfiques et bénéfiques je pouvais les reconnaître un peu plus facilement. J’entendais les pas derrière moi et la, j’arque un sourcil, mais ne bouge pas d’un pouce gardant les yeux fermer.

« Je peux vous aider ? Ou vous êtes venu me déranger par plaisir ? »

Alors que j’avais décidé de venir au lac pour être tranquille et pour pouvoir méditer et me remettre en phase avec ma magie, voici qu’on vient me déranger jusqu’ici. Je me dis qu’a ce moment précis, j’aurais jamais dû venir au Etats-Unis et rester en Asie. Au moins, là-bas, quand on veut être tranquille pour méditer, il n’y a pas quelqu’un qui vient te déranger toutes les trente secondes. J’entends le jeune homme se présenter me dire comment il s’appeler et dire qu’il était un être de lumière et qu’il représenté le bien. J’ai pris une grande inspiration et expire calmement, je savais bien quand choisissant la neutralité, j’allais avoir toutes les créatures magiques possibles et imaginables qui aller venir me voir pour que je choisisse leurs camps. Mais ce qui me fit arquer un sourcil et surtout me laisser perplexe par cet être de lumière, c’est quand il me demande s’il me dérange peut-être. Je ne crois pas que je suis en train de me taper une bronzette et la méditation et très répandu maintenant et chez eux encore plus. C’est alors que je décroise les jambes et me retourne pour le regarder de la tête aux pieds et la je descend de mon rocher et prend mon tee-shirt pour l’enfiler.

« Maintenant, on peut dire que non-car vous m’avez dérangé en pleine méditation et je pensais que vous les êtres de lumière vous connaissiez ça, car vous le pratiquez aussi. »

J’étais un peu froid dans mes paroles, mais bon, j’étais venu ici pour être au calme et on vient me déranger. Je finis de mettre mon tee-shirt et j’attrape ma veste que j’enfile par-dessus et quand je remets mes chaussures, je ne regarde pas mon interlocuteur et lui dit simplement.

« Laisser moi deviné vos patrons ou supérieurs, je ne sais pas comment vous les appelez vous on demander de me faire venir dans votre camp ? Je me trompe Monsieur Dameron ? »

Je finis de lacet la première chaussure et la enfile la deuxième et la lace pour après me remettre droit devant lui en croisant les bras.

« Et si j’aurais était plus sur la défensive et que je vous aurez attaqué vous aurez fait quoi ? Car on ne vous a jamais appris à ne pas surprendre quelqu’un en pleine méditation car c’est le moment ou on re canalise nos pouvoirs et que nos chakras s’aligne pour qu’on soit a la meilleure de notre forme. »

Alors que je finissais de me rhabiller après avoir, était dérangé par un être de lumière en pleine méditation, je l’écoute de le dire que je peux l’appelé Loan. Comme il voulait, peut m’importer comment il voulait que je l’appelle. Puis après que je lui ai dit que je me douter pourquoi il était venu ici, ce n’était pas le premier ni le dernier qui allait vouloir que je rejoigne leurs camps. Mais j’ai vraiment du mal à concevoir d’en rejoindre un pour le moment. Pour moi les bénéfiques ont perdu de leurs importances quand ils n’ont pas venu au secours de ma défunte mère. Mais j’ai laissé à l’être de lumière de me faire son petit speech, du pourquoi du comment il était là. Je ne disais rien pour le moment regardant plutôt son attitude ses gestes, et surtout ce qu’il aller faire par la suite. Après qu’il a fini de tout m’expliquer, c’était à mon tour de lui poser une question sur le fait que normalement, ils connaissent la méditation et qu’il ne faut jamais surprendre quelqu’un qui en fait. J’ai vu son sourire s’éclairer, j’ai arqué un sourcil en me demandant bien ce qui lui passer par la tête à ce moment précis, mais vu son sourire ça devait être quelques choses de bien. J’écoutais son argument sur le fait qu’il n’était pas un adepte aussi expérimenté que moi, c’est un peu facile car moi, j’ai appris cela depuis que je suis un enfant et que si je l’aurais attaqué il se serait défendu et encore heureux même s’ils ne peuvent pas mourir, car théoriquement, ils le sont déjà. Mais voilà qu’il avait fini de parler et me regarder bien droit dans les yeux.

Je croise les bras sur mon torse et le regarde à mon tour, puis je commence à faire quelques pas pour me diriger vers la table de pique-nique qui se trouve n’a même pas 2 mètres de nous. Je m’assois sur la table et pose mes pieds sur le banc ; puis je retourne mon visage vers lui.

« Je pense que vous vous y connaissiez en la méditation même en étant un novice, vous ne pratiquez simplement pas la même que moi que j’ai appris depuis ma plus jeune enfance. »

Je fais une légère grimace et viens passer mes doigts sur mon bouc et là, je commence à regarder devant moi et lui dit normalement.

« Vous enfin, tu me dis, excuse-moi de te tutoyer, que tu veux parler et te renseigner sur moi. Mais que veux-tu vraiment savoir. Car je connais un peu les êtres de lumière et je sais que vous observez pendant un petit moment vos protégés potentiel ou toute créature susceptible de rejoindre le bien. Donc, dans la logique, tu dois en savoir beaucoup sur moi. »

Code:

[b][color=#333366]parole[/color][/b]

Je venais de sortir mon petit speech à ce fameux Loan, car il dit qu’il voulait savoir des choses sur moi, ce qui est tout à fait normal pour un être de lumière. Mais je trouvais qu’ils étaient un peu trop intrusifs à mon gout, mais bon, ce sont un peu leurs travails de le faire, on leur avait donné l’ordre et ils devaient s’exécuter. Alors que je regarde devant moi pendant que je lui avais parlé, je vois du coin de l’œil que celui-ci se rapproche de moi. Je ne tourne pas le regard ou même la tête fixant l’horizon, mais voilà que celui-ci ce mets juste devant moi. Je viens à relever le regard et l’observe de la tête aux pieds en arquant un sourcil. Je l’écoute me parler en disant qu’il me connaît, qu’il connaît des détails de ma vie, s’il savait tellement de chose sur moi, il savait que j’avais quand même une rancœur envers eux pour ce qu’ils avaient fait. Il savait ce que je faisais en général, ça devait être étendu ce qu’ils savent sur moi, car je fais énormément de choses depuis ses dernières années. Et il commence à me dire qu’il a sa propre façon de se lier en quelques sortes avec moi, mais que celle-ci n’est pas encore bien ajusté, car il est un bébé dedans. Et cela peut se voir à sa façon dont il se comporte. C’est alors qu’il dit quelques choses qui me va, qui n’est pas du style à s’imposer à déterrer ma vie, mais en m’espionnant, il le fait un peu, mais bref. Et là, il me sort qu’il allait attendre que je parle de mon histoire quand je serais prêt.

Sa phrase ma fait quand même un tilt dans ma tête, il voulait attendre pour savoir plus sur ma vie quand je serais prêt et là en me redressant le buste et le fixant droit dans les yeux, je lui sors avec la voix légèrement énervée

« Tu veux savoir quoi de ma vie, le jour où ma mère est morte et qu’aucun d’entre vous n’ai eu la décence de lui venir en aide alors qu’elle était seule fasse à des démons ? Ou quand ils ont essayé de me tuer le même jour et que personne n’est venu m’aider que j’ai dû le faire par moi-même. Ou encore toutes les fois où j’ai manqué de mourir sous les mains de mon beau-père ? Dites moi où étiez-vous quand il met arriver à tout cela ? Et ça ce n’est qu’une partie »

Code:

[b][color=#333366]parole[/color][/b]

Je venais d’expliquer à l’être de lumière quelques malheur qui m’était arriver dans ma vie, une partie qui était assez dur pour moi, car j’avais quand même toutes ses épreuves assez jeunes. J’ai dû apprendre à me défendre seul face à mon beau-père qui faisait à l’époque presque trois fois ma taille et ne parlons pas du poids. Dans un combat, j’aurais était un poids plume et lui dans la catégorie des sumos pour que vous voyez la différence. Et quand il est parti, car il ne pouvait pas vivre avec une abomination comme moi, j’ai vécu qu’avec ma mère et quand celle-ci fut tuée, j’ai dû me sauver moi-même de ses démons et surtout par la suite suivre avec mon seul instinct de survie. Je venais de me livrer et la seule réaction et phrase de l’être de lumière était qu’il pouvait compatir à mon malheur et que le passer appartient au passer qu’il ne pouvait pas le changer. Là, j’avais une envie prendre le jeune homme et l’envoyer valser dans le lac. Puis quand il s’approche de moi et pose sa main sur mon épaule, j’ai regardé son geste et mon regard se pose sur sa main sur mon épaule. Puis je viens tourner la tête vers lui et le regarde même si celui-ci me souriait je ne lui rendis pas son sourire. Et là je l’écoute à faire son petit speech ne le lâchant pas du regard et la quand il enlevé sa main je fais un mouvement d’épaule et là je me lève et commence à faire quelques pas .

« Vous dites compatir à mon malheur mais si vous n’avez pas vécu ce que j’ai vécu vous ne pourrais pas comprendre ce que c’est CE malheur. »

J’avais insisté sur le ce, car pour moi, son discours était un truc lambda juste pour essayer de faire bonne figure, mais moi qui est quand même du mal à parler mon passé de voir quelqu’un qui sort une phrase que j’ai tellement entendu ne me fait ni chaud ni froid enfin si me donne juste envie de partir loin de cette personne. Je me penche pour attraper mon sac et là, je le pose sur la table et le regarde.

« Vous dites le passer et le passer, je le sais bien mais perdre un être de votre famille, une mère celle qui vous a mis au monde, qui vous a élever toutes sa vie et quelle est morte à peine 35 ans on en reparlera. Car pour moi, votre beau discours ne veut rien dire à mes oreilles, c’est des mots que j’ai tellement entendu que pour moi. Excuser moi de ce que je vais dire, mais c’est comme si on pisser dans un violon. Donc le jour où vous aurez pas à réciter votre speech que vos supérieurs divins vous on pondu et demander de répéter, on reparlera vous et moi enfin, on verra si je suis d’humeur… »

JE savais que le fait qu’il met interrompu en pleine méditation m’empêchant d’aligner mes énergies m’avait mis de mauvais poils. Mais avoir des phrases pondues comme ça qui ne viennent pas de la personne par elle-même, mais plus comme un robot qui récite le programme qu’on lui a implanté dans la tête, je ne trouve pas sa intéressant. Je viens prendre mon sac et mets la lanière sur mon épaule et repart et la en ne me retournant pas, je lui dis

« Je n'ai pas besoin de vous raccompagner comme vous avez su arriver par vous-même. »

Code:

[b][color=#333366]parole[/color][/b]

Code:

[b][color=#333366]parole[/color][/b]