REPONSE ZAFRINA/LUDWIG

Cette ville est complétement envahie, de créatures magique je ne pensais pas voire autant de ressemblant que ça. La dernière fois, que j’en ai vu autant c’était pendant que des sorcières russes se rassembler pendant un sabbat, humm quels jours magnifiques à mes yeux. Pas qu’elles étaient nues, mais plus les cris, les pleurs et ce sans verser quel régal pour mes yeux et mes mains. Comment ne pas aimer quand on arrive à tuer plusieurs sorcière d’un coup et tant sortir juste avec quelques blessures, bon mes vêtements ont pas eu la même chance et j’ai dû les jeter. La prochaine fois que je fais ça je n’oublierais pas de voler leurs économies pour le pressing voir me racheter des vêtements.

Voilà plus d’une semaine que j’avais rencontré cette sorcière rouge, la petite poupée russe. J’aurais aimais la recroiser pour lui faire payer ce qu’elle m’avait fait subir, je l’aurais moi-même égorgé à petit feu pour voir cette flamme de vie qui serait dans ses yeux s’éteindre à petit feu. Sa aurait était une jouissance intense, mais bon je ne l’ai pas croisé et c’est bien dommage. Il faut avancer et surement un jour je pourrais assouvir ma vengeance et si ce n’est pas sur elle je le ferais sur quelqu’un d’autres.

Je me balader, dans les rues de San Francisco la nuit la meilleure période pour la chasse, quand je fus percuté par une bande de petite jeune qui se croyais plus malin que moi. Alors qu’il me traiter de grande folle au allure de prédateur d’enfants j’ai souris. Et là d’un coup de tête je les envoie dans une ruelle. Je regarde de chaque côté de la rue pour voir si quelqu’un arriver et je suis partie en direction de mes futures proies. Regardant celui qui ma traiter de prédateur et avec un sourire machiavélique

« Tu veux voir un prédateur mon grand ? Je vais te dévorer à petit feu »

Commençant à m’approcher de lui, je vois ses deux acolytes essayer de se faire la mal en hurlant a plein poumons de l’aide.

paroles:

   

On pourrait le dire comme ça mais la vie de démon n’est pas facile tous les jours. Ta toujours un bénéfique qui viens te faire chier quand tu es entrain de t’amuser et l’en plus je ne lui ai rien fait à part lui apprendre à faire les vols planer. Il n’a pas compris je voulais qu’il apprenne à faire des amortit plus facilement s’il lui arriver quelques choses. Moi de mauvaise foi c’est n’es pas du tout mon style, je corrigerais en disant que c’est TOTALEMENT mon style. On a tous des moyens de s’amuser et pour moi m’amuser et d’effrayer le plus de monde, le plus marrant c’est la nuit car la crainte et au maximum. D’avoir cette odeur de peur de crainte un doux mets à mon odorat.

Alors que j’allais mettre une petite raclée a se petit c… pardon idiot, pour lui faire comprendre qui était le gros méchant entre lui et moi là j’entends des bruits de pas assez puissant se rapprocher de moi et plus une voix et un objet contre mon dos. Je levé les yeux aux ciel comme je ne pouvais pas le faire lever les yeux en enfer j’étais fatiguer de ses être bénéfiques qui me lâche pas les pompes depuis mon arrivé. Alors que je me redresse doucement et commence à lever mes mains en l’air je vois ma proie partir en courant presque en chialant comme une gonzesse. Je sentis la colère monter car il y avait déjà eu cette sorcière qui m’avait fait perdre ma proie à la bibliothèque et là maintenant celle-ci j’étais bien énerver car si je ne tue pas au moins une personne par semaine je me sent frustré j’avais besoin de sentir cette peur et même de voir cette lueur disparaitre dans leurs yeux.

« Vous allez tirer sur un homme qui n’est pas armée ? »

Je me tourne pour lui faire fasse car si je devais mourir ce soir, je veux faire face à mon tueur et que celui-ci ne sent sortent pas idem. Je sentis le canon glisser sur mon dos, sur mes cotes et là je m’appuie bien sur son arme sur mon torse. Je la regarde droit dans les yeux, j’ai dû baisser la tête car elle était vraiment plus petite que moi de presque 17 cm environ a quelques poils prêts. Mon alter Ego Strakh avait envie de jouer avec elle. Celui-ci est plus furieux que moi surtout quand il n’a pas sa dose de peur.

« Pourquoi vous pointer cette chose sur moi ? »

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